22.3.08

mon coeur, mon trésor, mon ptit sucre...(¯`´¯)

Je suis pour les bonnes relations entre voisins.

Surtout avec ceux de droite.

L'amour, c'est comme la haine, ça s'entretient. Un des meilleurs moyens, c'est les ptits noms doux. (Dans le cas de la haine ça donne : c****, p****, e**de mes d***, et on peut même les combiner : c*narp*te, enf*** de s*** ... hem je m'égare)

Une relation que l'on soigne avec attention en France, c'est justement celle avec nos voisins de droite. Qui n'a jamais prononcé les mots : "mon ptit boche, mon fritz d'amour, schleuh de mon coeur"??

Le pire doit être "boche".
Au départ, au 19ème siècle, le terme utilisé était Alboche, formé du préfixe Al = diminutif d'Allemand et du suffixe boche = tête de bois
La boche désignait en fait une boule en bois (pour renverser des quilles par exemple (j'ai essayé avec des canettes de biere, ça marche aussi)), le mot est passé dans l'argot dans l'expression tête de boche c'est-à-dire tête de bois.
Enfin, abrégé, il est redevenu boche (oh une aphérèse (c'est quand on supprime une syllabe au début d'un mot)).

Chleu, Chleuh, Schleu???
Malgré la consonnance bien allemande le mot Chleuh désigne initialement des populations berbères du Maroc occidental. Les soldats français combattant au Maroc au début du 20e siècle ont nommé ainsi les troupes territoriales dont la langue incompréhensible était si barbare.
Le terme a ensuite été importé en France pour désigner les alsaciens et autres frontaliers dont la langue était autre que le français, on dit alors "ce sont des chleus qui parlent schleu". Enfin ce terme désigne le soldat allemand puis plus largement l'occupant allemand pendant la seconde guerre mondiale.

Quant à "Fritz", c'est le diminutif de Friedrich, un des noms préférés des Hohenzollern, les empereurs de Prusse, et prénom très courant en Allemagne, notamment au 19ème siècle (une période très prolifique pour le germaniphilisme). Durant la1ère guerre mondiale (dite "la Grande"), on le décline en fridolin, frisé, frisou.

Je voudrais encore signaler qu'il n'y a pas d'équivalent pour les Français côté teuton...

Juste Froschfresser (mangeur de grenouilles) et ça tout le monde le dit!

13.3.08

Rayon de soleil

Dans le bus (mon moyen de transport) j'ai lu dans le Métro d'hier (mon journal) un article édifiant sur le stress et l'énervement générés par le bruit sur le lieu de travail.

58% des travailleurs français en souffrent, et leur entourage en pâtit.

Petit détail qui n'a pas manqué de me faire sourire (mmmh ricaner serait plutôt le mot) :

sur la totalité des travailleurs accablés, les 3/4 sont dans l'administration.


Moi en tout cas, ce petit rire du matin a illuminé ma journée.

9.3.08

ET CA REPART PAS

Je sors de mon flegme légendaire et pacifique pour pousser un coup de gueule (coutume française)

PARCE QUE (là voilà, je suis enervée)

Ils nous ont changé le Mars
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Fini la petite mousse cacaotée

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bonjour la mousse de lait (alors paye ton lait...)
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En vrai, c'est un milky way (paye ta voie lactée)

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On veut du CHOCOLAT!!!!
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Les femmes quand elles dépriment ou pour beaucoup de raisons qui font qu'elles sont des femmes, elles ont besoin de chocolat (et c'est pour ça que vous nous aimez, chers lecteurs du sexe fort (je ne veux rien entendre sur la journée de la femme))
Le lait c'est pour les vaches et on en boira quand elles mangeront du raisin.

Ou alors donnez nous la vache, la viande c'est la santé, mais qu'on ne nous fasse pas croire que l'on peut combattre l'ostéoporose avec cette mousse là.

Je laisse le soin à Judith Olney de conclure : "La plupart des biscuits aux pépites de chocolat ne renferment pas assez de pépites de chocolat."

Comme quoi, le mauvais exemple est contagieux.

A ciao bon dimanche